Sur quelques 250 interviews réalisées l'année dernière auprès de clients de l'industrie biotechnologique & pharmaceutique, 82% ont souligné qu'une stratégie de sous-traitance solide était devenue primordiale pour assurer avec succès le développement et la production de médicaments.
Le marché de la sous-traitance Biotech & Pharma s'est fortement développé au point de devenir une industrie de plusieurs milliards de dollars. Il englobe un large éventail d'options allant de contrats ponctuels et d'une approche tactique à des modèles plus complexes avec des services complets et des partenariats stratégiques.
Les prestataires de services, comme les CROs, CDMOs ou CMOs, ont adopté de nouvelles technologies et développé des compétences très pointues qui couvrent plusieurs étapes de la chaîne de valeur et d'approvisionnement ou ne se concentrent que sur certaines.
Tout cela participe à la formation d'un environnement plus complexe, mais fournit également plus de possibilités sur le marché mondial.
Les grands groupes pharmaceutiques ont pris conscience des différentes options de sous-traitance disponibles sur le marché et transforment leurs activités de sous-traitance d'une relation tactique et translationnelle - en ajoutant des capacités flexibles ou en réduisant les frais généraux - à un partenariat global et une alliance stratégique - amélioration du pipeline R&D, innovation technologique, délai de commercialisation, accès à un nouveau marché.
Cependant, sélectionner la stratégie d'externalisation adéquate est devenue plus complexe. Les sponsors font face à plusieurs challenges - développement du pipeline R&D interne et acquisition de médicaments candidats en phase clinique, deals de in-licensing, approvisionnement clinique et commercial, rationalisation du portfolio, optimisation de la chaîne de valeur et création de valeur - qui impliquent de multiples prestataires de services tout au long de la chaîne de valeur, avec différents moyens et capacités technologiques à différents endroits de la planète. Tout cela met à rude épreuve la gestion de la chaîne d'approvisionnement tout comme l'analyse du risque et a un énorme impact sur les avantages compétitifs ainsi que sur la rentabilité.
De l'autre côté, les biotechs de plus petite taille qui se concentrent plus souvent sur un ou deux candidats, sont prises dans un tourbillon de questions stratégiques lorsqu'elles se confrontent aux sujets de CMC, R&D et production car pour ces organisations les décisions d'externalisation sont vitales :
De nombreuses autres questions stratégiques sont également soulevées par les biotechs quand vient le moment de développer leur stratégie d'externalisation.
La mondialisation, les dépenses massives en R&D, les retours sur investissement en déclins, la pression des gouvernements et la modification des sources de financement, les nouvelles modalités, ajoutés à la nécessité d'avoir des compétences pointues tout au long de la chaîne de valeur, sèment des embuches sur la voie de la sous-traitance.
Depuis près de 30 ans et grâce au développement de plus de 600 stratégies d'externalisation, Larka s'est penchée sur l'évolution et le changement structurel des activités d'externalisation au sein de l'industrie biotechnologique et pharmaceutique. Nous avons toujours veillé à répondre aux besoins spécifiques et radicalement différents de nos clients, qu'ils soient des start-up Biotechs ou des grands groupes pharmaceutiques.
Nous avons aidé des centaines d'entreprises à investir et à concentrer leurs ressources sur leurs compétences essentielles, tout en développant des stratégies d'externalisation créatrices de valeur, adaptées au stade de développement - du matériel Tox préclinique à l'approvisionnement commercial - au cycle de vie du portfolio des produits, aux capacités internes, aux coûts d'exploitation, aux besoins de financement ou aux autres objectifs et exigences spécifiques.